[Légendes] Les Forces Calimshan déroutées

Après les nombreuses hésitation Calimshites, duent aux fières percées des cavaliers impériaux à travers leurs lignes de ravitaillement, leur Ost décida d'avancer jusqu'aux abords de Thar, où les légions étaient prêtent à combattre, accompagnées d'une partie de l'armée du Légendaire Wilfried IV de Sukumvit, Seigneur d'Arnoc...

Les efforts de la population de cette époque ne sont rien à côté des notres, il cèdaient volontiers leur nourriture aux troupes qui les défendaient, au péril de leur vie.

La dernière bataille fut un réel massacre, une bataille rangée, les soldats d'Arnoc et l'empire contre les Calimshites, pillards de l'ouest.

Le borgne, qui dirigeait les hordes orques se plaisait visiblement bien à Yallash et avait décidé de laisser l'Ost Calimshite s'occuper de ces affaires.

Les légions Impériales tenaient le centre de la ligne, en lourde armure, sur l'aile droite se tenaient les guerriers d'Arnoc, assoiffés de combats, l'aile gauche était tenue par les troupes de l'empereur commandée par le Duc de Derlusk, Kurt von Hohenzollern, les deuxièmes lignes étaient composées des miliciens de Beldargan, armées d'arcs, et de mercenaires, commandés par la seule femme de l'armée...

Les deux armées se regardaient, à quelques centaines de mètres l'une de l'autre, les Calimshites beuglaient sans discernement, mais l'Empire tout entier restait calme et silencieux, la symbiose qui résidait entre tous les corps militaires est désormais oubliée depuis longtemps !

L'empereur et le duc de Beldargan étaient en retrait, usant de leur stratégie pour analyser la situation...

Le souffle des Arnociens était calme et régulier lorsque les corps Calimshites entonnèrent le funeste chant de l'avancée des premières lignes... Les miliciens prirent leurs arcs, tous sauf une poignée située juste derrière les légions, certainement le commandant et ses sergents... Les lignes ennemies avançaient, une fois à portée une volée fut tirée au centre de l'armée adverse, qui, coupée de tout ravitaillement n'avait put équiper ses homme de projectiles. Leur nombre compenserai certainement ce manque. Les flêches frappèrent les lignes Calimshites qui se mirent à charger, elle n'attaquaient que les légions impériales, laissant l'aile des soldats de Wilfried IV libres. Il ne se privèrent pas de combat et chargèrent le flanc ennemi. La peur des calimshites les forcèrent a charger le centre, et quelle charge ! Le noyau de l'armée perdit ses premières ligne quasi-instantanément, les dirigeants de la milice se jettèrent dans la mélée tandis que les représentants de l'ordre tiraient sur l'arrière de l'amas calimshite. Les Arnociens massacraient sans peine les soldats ennemis mais leur nombre était de taille, les légions tenaient bon, se défendant plus qu'autre chose, les dirigeants miliciens passaient entre les lignes alliées pour s'approcher de l'ennemi, donnant courage aux faibles miliciens qui purent soutenir les légions de leur nombre suivis par les mercenaires... Plus aucune stratégie ne pouvaient rien faire à ce stade, et c'est ce que les Calimshites souhaitaient, nous écraser sous le nombre, la troupe de protection du Duc Kley de Beldargan partit soutenir Von Hohenzollern, qui perdait l'aile gauche, il resta seul avec l'Empereur et sa garde du corps.

En bas, dans la mêlée, l'encerclement fesait peu a peu effet, leur nombre comptait de moins en moins, et les mercenaires purent entrer en action, pousser pour avancer...

Surpris par le calme et la mort méthodique que répendaient les soldat de l'Arnoc, par la solidité du noyau et par le bluff du Duc Kley qui avait envoyé ses troupes comme une réserve prévue, les Calimshites reculèrent dans l'ordre... Aucune poursuite ne fut entammée, les pertes au sein des légions étaient terribles, des compagnies entières décimées, plus qu'une esquisse d'armée... Les Calimshites avaient prit un coup bien plus sérieux, mais déjà tout le monde ésperait que les orques restent terrés a Yallash...

La victoire était notre, mais à quel prix, les sages dirigeants ne firent pas la fête ce soir là, trop préoccupés par le lendemain, les mercenaires non plus d'ailleurs, il fallait déblayer le champ à la première heure du lendemain...