Hirad s'approcha du vieillard, le considéra un moment, l'air dégouté, et lui dit :
"Il paraît que tu détiens une information précieuse... Je doute qu'un misérable comme toi puisse posséder une information digne de mon intérêt, mais je veux en avoir le coeur net."
Hirad fouilla alors sa bourse, et en sortit 3 pièces qu'il jeta aux pieds du mendiant.
"Voilà pour toi, vieillard... Et j'espère que l'information que tu dis détenir vaut l'or que je t'ai donné, auquel cas tu ne verras pas le prochain lever de soleil !"