[Rumeurs] Un homme en armes en ville

Hier au soir, dans les quartiers sud eut lieu un incident d'une grave raretée. Le sang fut répandu d'une manière que Beldargan ne connut plus depuis beaucoup d'années.

De braves miliciens effectuaient leur patrouilles, sans manquement aux règles, lors de leur passage dans les quartiers suds aux alentours de 2 heure du matin il clâmèrent avec leur habituel entousiasme "Il est 2 heure, dormez braves gens, nous veillons !" Un passant les interpellas alors, avec un manquement à l'éttiquette et même un grand manque de respect. Les miliciens voulurent donc le contrôler. L'homme dégaina et trancha la gorge d'un soldat sans aucune sommation, le second milicien, fraichement sortit des académies dégaina et toucha l'homme au bras, déchirant les vêtement et ... ripant sur sa lourde armure !
L'homme manquait aux lois. Dans un cri de raliment le jeune homme rendit l'âme, ameutant les citoyens, qui alertèrent la patrouille, le mécréant s'était enfuit...

Un avis de recherche est placardé devant le batiment principal de la milice :

"Les autorités recherchent un homme de forte carrure, environs 2 mètres. Il est violent et porte une tauge d'un brun commun. Ses cheveux sont noirs et sa peau blanche.

Cet homme est armé, une récompense est promise pour la ou les personnes qui le livrerons, ou qui indiqueront l'endroit où il peut être capturé"

"Oyez, oyez braves gens

La récompense est augmentée pour la capture du mécérant qui a tué deux de nos braves hommes d'armes, 1000 piécèttes pour sa tête, 1500 pour sa tête et le reste et enfin 2000 si Kelemvor ne l'a pas emporté !"

Guerdan aperçut l'affiche, l'ambiance au bastion de la milice avait changé ces jours ci, guerdan conaissait pas mal l'un des deux miliciens qui était mort, et ce crime devait etre puni.
Guerdan décida donc de mener sa petit enquete mais pas en tant que milicien.

Sa première idée était de rechercher des informations sur cette personne, et quel endroit était mieu que la taverne pour sa.

Guerdan entra dans la taverne et se mit au comptoir pour parler a l'aubergiste.

La discution avec l'aubergiste ne fut pas longue, et Guerdan repartit allégé de sa bourse, et le ventre rond de bière vers le sud de la ville.